Spectacles
INSCRIPTIONS
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PROGRAMMATION
22 MAI
OUVERTURE FESTIVAL CINÉMA LE GRAND PALACE
PROGRAMMATION
- 20H – Projection
Échange, après le film, avec le chorégaraphe Gervais Tomadiatunga, Julie Fontes-Trameçon et Nadine Collat.
Dancing Pina de Florian Heinze Ziob
PRIX
- 8€ adultes et enfants
23 mai
SOIRÉE ART & RECHERCHE HAVRE D’OLONNE – LA LICORNE
PROGRAMMATION
- 19H45 – Spectacle
Restitution atelier Cie ART.Y – école la Pironnière
Conférence sur la chorégraphe Anna Halprin
Présentation Association “Les Boucles en or” avec un solo écrit pour Audrey Eriaud, marraine de l’association et danseuse – interprète de la Cie ART.Y
Entracte
Solo Alma Petit Cie I’R I’RA
PRIX
- Adhérent :
12€ Adultes / 6€ -16 ans - Non-adhérent :
15€ Adultes / 8€ -16 ans
24 mai
SPECTACLES HAVRE D’OLONNE – LA LICORNE
PROGRAMMATION
- 19H45 – Spectacle
Restitution ateliers – collèges Pierre Mauger et ND de Bourgenay avec les chorégraphes Gervais Tomadiatunga et Aline Brugel
Solo Dara You – “Good Time” Cie ART.Y 20h30 Entracte et exposition de Julien Vrignaud
21H – Spectacle de la Cie Chute Libre
PRIX
- Adhérent :
12€ Adultes / 6€ -16 ans - Non-adhérent :
15€ Adultes / 8€ -16 ans
25 mai
SCÈNE OUVERTE JARDIN DU TRIBUNAL
PROGRAMMATION
- 15H – Scène ouverte
Cie M’Bira, Just’à corps, ASC classique et jazz, Tal’Danse, Atelier Khô, Dance Academy, Cie Alaia dantza taldea, Art du mouvement, Les Amis de la Danse, Atelier Junior, Atelier S, Amicale Laïque, Cie VB Cactus, Sea Sal’n Swing, Cie Dansestia, L’envol…
19H – Spectacle
“A quoi tu danses?” Lise Dusuel – Cie Aniaan
PRIX
- Adhérent : 4€
- Non-adhérent : 5€
26 mai
CLÔTURE FESTIVAL LA CROISÉE DU MASC
PROGRAMMATION
Deux représentations – Spectacle
-
- À 14h
- À 16h30
“L’archipel”, une exposition chorégraphique Rosine Nadjar – Cie Lo et Aline Brugel
17H – Flashmob avec Charlène Berardo (Gratuit)
PRIX
- Adhérent :
12€ Adultes / 6€ -16 ans - Non-adhérent :
15€ Adultes / 8€ -16 ans
ouverture du festival – projection dancing pina – 22 mai
SYNOPSIS
DANCING PINA célèbre l’oeuvre artistique de Pina Bausch et les personnes qui aujourd´hui encore se consacrent à la perpétuer.
Au Semperoper en Allemagne et à l’École des Sables près de Dakar, de jeunes danseurs, guidés par d’anciens membres du Tanztheater de Pina Bausch, revisitent ses chorégraphies légendaires. Pour ces artistes, issus de la danse contemporaine, du hip hop ou du ballet classique, danser Pina, c’est questionner ses limites, ses désirs, et métamorphoser une œuvre tout en se laissant soi-même métamorphoser par elle. Réalisateurs : Florian Heinzen-Ziob avec Clémentine Deluy, Malou Airaudo.
conférence anna halprin – 23 mai
CONFÉRENCE AVEC LA CHORÉGRAPHE ANNA HALPRIN
Anna Halprin a, par ses oeuvres, ses valeurs et ses engagements, bouleversé le paysage de la danse contemporaine. Danseuse accomplie, chorégraphe reconnue mondialement, et pionnière des liens entre l’art, la nature et le soin dans le monde occidental, elle a permis à des générations de danseurs, d’artistes et de chercheurs de trouver leur vérité au coeur de leur corps, d’accueillir leur singularité et leur créativité, tout en créant des ponts entre la recherche, la santé, l’art et le social. Cette conférence sera l’occasion de rencontrer ses enseignements, ses héritages, et d’entendre le témoignage de la rencontre fondatrice de cette artiste pour la danseuse, chorégraphe et pédagogue Alma Petit.
solo alma petit « kokedera » – Cie i’r i’ra – 23 mai
KOKEDERA – CIE I’R I’RA
Le Solo “Kokedera” est la rencontre des mousses végétales, une des âmes du monde nippon, et des valeurs du Bushido, code de valeurs des Samouraïs au Japon. « Le cœur des hommes est l’âme des fleurs » dit un proverbe japonais.
Regardons les arbres, couverts de mousse… Les pierres couvertes de mousse… On pourrait considérer la mousse comme une force érosive… ou bien, comme la vie, faisant de son mieux pour se perpétuer… Désherbée à certains endroits du globe, elle est un des éléments essentiels des jardins traditionnels japonais… la mousse …. une impression d’immensité…. Aussi, quand on s’y penche… de douceur, de tendresse et de délicatesse … elle permet une pause fractale introspective prolongée… Ne pas penser, mais être, tout simplement…
On y verra, en elle, peut-être, la réduction de toute chose à son Essence même. Depuis cette rencontre mystérieuse du monde végétal riche, nourricier et ressourçant qu’est la mousse, grâce au corps et au mouvement, Alma Petit a eu envie d’y associer la plongée sensorielle et philosophique dans les valeurs fondatrices du Bushido, code de valeurs des Samouraïs au Japon qui peuvent y nider. Ces valeurs structurent encore aujourd’hui l’âme et la société japonaise : Justice, Courage, Bienveillance, Politesse, Sincérité, Honneur et Loyauté.
Ce retour à l’Essentiel pour Alma est, à travers ce solo, sa manière de sublimer son jardin intérieur, de laisser sa créativité s’exprimer, au creux du délicat, discret, et fertile, en y laissant s’éclore et se dire la puissance tranquille et restructurante incarnée par ces valeurs et ces regards nippons à travers les siècles.
ALMA PETIT
Formée au conservatoire de Nantes, puis au Trinity Laban Conservatoire of Dance à Londres où elle obtient son Bachelor avec mention très bien et félicitations du jury, et intéressée par les pratiques somatiques et l’improvisation dans la nature, elle s’est formée ensuite aux USA chez Anna Halprin en Life/Art Process, méthode d’art thérapie qui allie mouvement, dessin, écriture et performance.
Elle est désormais Praticienne Certifiée. Actuellement au conservatoire de St-Nazaire, elle a enseigné dans différents conservatoires de l’ouest, ainsi qu’auprès d’adultes, de danseurs professionnels au Centre Chorégraphique National de Nantes, de jeunes adolescents en situation de handicap, au sein d’universités et lycées, et en entreprise. Observant les ponts qui se font entre le Qi Gong et la Systemie, Alma cultive dans ses projets artistiques et pédagogiques l’art d’être en ouverture, en accueil à ce qui est présent, depuis son centre de gravité physique, dans un ancrage toujours renouvelé, et soutenue par le passé du monde de la danse. Elle accomplit son chemin de danseuse, chorégraphe et pédagogue, au service de l’Intelligence de notre Art.
solo dara you « good time » – cie Art.y – 24 mai
NOTE D’INTENTION
D’une peinture à l’autre, le danseur-interprète Dara You voyage entre « Paris, rue Jean Robert » et « The River ». Peintre figuratif, Laurent Proux nous enchante entre réalité quotidienne, mécanismes sociaux et paysage crépusculaire. Des liens physiques vont unir danse et peinture. Observer la scène, prendre la pose pour en définir et élargir les contours. Une main sur la nuque, une autre sur l’épaule, un regard sur le côté…
Par le figuratif et l’accumulation, le geste va esthétiser le réel, poser le temps, ouvrir les fragments d’une autre temporalité régie ou endolorie dans un mouvement minutieux, doux, à l’ouvrage, multiple.
Julie Fontès-Trameçon
DARA YOU
Dara est un interprète sans censure émotionnelle. Dara sait par un regard, un mouvement, comment communiquer et transmettre de l’émotion au public. Fluide dans ses enchaînements et dans la maîtrise de son corps, il laisse exprimer sa musicalité et son ressenti par sa danse. Interprète depuis de longues années dans la compagnie S’poart auprès du chorégraphe Mickaël Le Mer ; il a aussi collaboré avec d’autres compagnies professionnelles telles que les Traines Savates ou Nathalie Billard.
JULIE FONTÈS-TRAMEÇON
Julie Fontès-Trameçon est artiste-enseignante. Titulaire du diplôme d’état en danse contemporaine, d’un Master 2 Art Danse à Paris VIII; elle conçoit la danse comme un lieu de recherche au gré des projets artistiques pour rendre visible, lisible et libre des sensibilités, des imaginaires, des espaces et des corps. En cela elle se nourrit et s’inspire en partie de la matière et de la personnalité de ses interprètes. Elle explore dans ses pièces une danse de plateau qui conjugue intuition et présence dans un debout partagé. Se mesure en elle et dans ses créations : une pédagogie chorégraphique nourrie de toute cette phase de créativité, intimement liée à la lisière et à la croisée des arts, de la littérature, de la mode et de l’architecture. De formation initiale classique au sein de différents conservatoires : le travail de postures, d’esthétique, de porosité sont des éléments fondateurs de sa danse. Qu’elle cherche à ponctuer, rythmer, de ces « petits riens », de ces interstices qui déstructurent, donnent et laissent entendre une couleur, une prestance, qui se conjuguent dans la délicatesse, la fragilité, le désir ou la fulgurance du mouvement.
Recherche, création et transmission sont ainsi au cœur de son parcours et de son écriture chorégraphique. La compagnie pensée comme une plateforme artistique accueillant des artistes en résidence en porte les valeurs de sa fondatrice. Un parcours qui s’étend aujourd’hui à l’international dans son rôle d’assistante chorégraphique pour le chorégraphe Gervais Tomadiatunga et dans sa mission de directrice pédagogique pour l’école Koundi à Brazzaville. Et qui tient aussi de son statut de professeur de culture et pratique chorégraphique dans la Filière S2TMD. Agrégée en EPS certifiée danse avec une maîtrise éducation motricité, son expérience universitaire en tant que formatrice lui ouvre des portes à la croisée de différents systèmes, à travers cette nouvelle mission de consultante auprès du chorégraphe David Llari sur sa méthode
DPC récompensée par l’académie des beaux arts.
spectacle « carmen » – cie chute libre – 24 mai
CARMEN – CIE CHUTE LIBRE
Elles sont trois : trois corps, trois assisses, trois lumières. Elles nous attendent déjà sur scène, prêtes à ne pas décider, instinctives. Leurs dos font face aux curieux. Elles se déplacent les bras aériens, nerveux, pieds et bassins dans la terre. Puis leurs corps fondent, paresseux, avant de se redresser, présents et alertes. Sorcières modernes, elles marquent le tempo, tremblent et se cambrent : commence alors une cérémonie du rythme. La musique nous embarque avec elles, les ambiances sonores s’envolent ou grondent, basses et percussions musclent l’effort, les silences et les respirations reposent les corps dans un univers inspiré par l’opéra de Bizet. Le spectacle Carmen est un trio en roue libre, une chorégraphie impulsive où improvisation et écriture se chevauchent. Annabelle Loiseau et Pierre Bolo précisent leur travail sur le postural, sur une danse musclée, délicate, musicale et urbaine. Trois corps, trois assisses, trois lumières qui forment un cercle imparfait où s’exprime une liberté de mouvements, d’attitudes, de choix.
ANNABELLE LOISEAU
Chorégraphe, danseuse interprète, professeur diplômée d’état
«…Alors, comment parler de danse ? Pourquoi énoncer la danse ?
Je suis danseuse, chorégraphe, j’ai cette approche physiologique des choses. M’exprimer au-delà de cela ne me semble pas d’un énorme intérêt. Je suis rapidement limitée, puis agacée. Enfin, je suis émue par l’ineffable courage du corps à tenir tête à l’éloquence. L’ attente n’est pas adaptée, moi je danse. « L’ arc en ciel s’apprécie sans le concours des sons » dirait le poète. J’ admets des limites à ma déclaration. Notre satiété n’est pas comblée puisque nous avons besoin de mettre en scène. J’aurais un goût pour des dynamiques, des choses puissantes, de la fragilité, des élans torturés. Et je voue un kif infini à la posture du corps humain. Qu’ il soit statique ou en mouvement, il me parle. Voila ce qui me guide…»
( Propos recueillis et écrits par Etienne Bolo )
PIERRE BOLO
Chorégraphe, danseur interprète, comédien, formateur
«…Mon travail implique la scène et, sur le sujet, tout est à faire, c’est un chantier permanent. J’ai longtemps abordé les spectacles par l’univers de personnages qui stimulaient un état, un cocon, dans lesquels mon corps libérait sa partition. Le théâtre m’a suggéré la relative superficialité de s’en contenter. Interpréter les personnages consistants de Shakespeare ou de Victor Hugo a révolutionné mon approche. Ces auteurs ont le verbe. Que proposent le corps et l’espace scénique ? Comment s’articulent les courants d’air, le mouvement ? Quelle dynamique dessinent-ils ? Des contrepoints, du contraste, émergent le relief. Quelles cimes atteindrons-nous ? Depuis la face jusqu’au lointain, la lumière étend la profondeur. Créons nos abysses ! Quelle apnée, quel souffle permettrons-nous ? Le regard, la main, l’attaque de l’interprète transpirent à l’instant d’une torsion unique. Elles émettent une note libre et composent la vie du spectacle. Le geste et l’attitude sont nos phrases. Le silence des postures est une précieuse musique. Tendez l’oreille…»
(Propos recueillis et écrits par Etienne Bolo)
Spectacle « à quoi tu danses ? » – cie annian – 25 mai
NOTE D’INTENTION
En clin d’œil au questionnement « A quoi tu penses ?», cette création imaginée pour les espaces non dédiés est une invitation à (re)découvrir des espaces communs, urbains ou naturels auxquels nous sommes habitués, où le quotidien a laissé son empreinte et où les générations se sont succédées.
L’idée est d’amener le public à valoriser l’existant, à jeter un œil nouveau à son environnement alors mis en mouvement par des modules chorégraphiques réadaptés pour chaque lieu investi. Parce que le mouvement c’est le vivant, “A quoi tu danses ?” propose un instant suspendu à toute personne se retrouvant sur les mêmes lieux, où la danse parfois amenée comme un jeu, invite à la légèreté.
LISE DUSUEL
Chorégraphe, danseuse interprète, cie Aniaan
Aniaan, en référence au dialecte Baoulé, dominant à Abidjan lorsque la chorégraphe Lise Dusuel y est née en 1992. «Aniaan» signifie famille et rassemble sous ce terme des personnes partageant des valeurs communes, qui cohabitent ensemble et se fédèrent autour d’un projet commun.
En 2019, Lise fonde donc la compagnie avec l’aide de Steven Friconneau en s’entourant de plusieurs personnes : que cela soit du coté du bureau de l’association, du côté de l’équipe professionnelle ou encore de celui des publics rencontrés lors des actions culturelles, la dimension humaine est toujours au centre des connections avec pour formidable prétexte d’échange, la danse.
Elle permet de créer de précieux moments, de vivre ensemble et c’est dans cette dynamique que la compagnie développe ses projets. Elle se nourrit des énergies et des codes de la danse hip-hop mais également d’influences contemporaines. La compagnie développe une danse hybride en constante évolution. En plus de ses projets de créations, la Cie Aniaan développe des actions (stages, ateliers, projets pédagogiques…) en direction de tous les publics (néophytes, amateurs, initiés, empêchés…).
exposition chorégraphique « l’archipel » – cie lo et aline brugel – 26 mai
NOTE D’INTENTION
L’Archipel – une exposition chorégraphique est un projet issu de la rencontre entre Aline Brugel (plasticienne) et Rosine Nadjar (chorégraphe). Ensemble, elles ont exploré la notion d’espace, avec le désir de faire entrer en interaction œuvre plastique – œuvre chorégraphique – lieu/public. Aline Brugel propose ici des sculptures géométriques aux surfaces miroitantes, les Roches. Quant à Rosine Nadjar, elle propose un duo en immersion dans cet environnement “rocheux”, devenant un paysage mouvant. La danse et l’installation dialoguent et sont des vecteurs pour éveiller les sens du spectateur en lien avec l’environnement dans lesquelles elles sont déposées. L’Archipel – une exposition chorégraphique est le souhait d’ouvrir un espace poétique, à la fois dynamique et contemplatif. Aller toucher sa capacité d’émerveillement en se laissant surprendre par ce qui peut apparaître; aller questionner ce qui est manifeste, ce qui se perçoit au premier abord, et les détails cachés qui peuvent surgir et révéler la profondeur d’une nature et sa beauté, tels sont les enjeux du projet.
ROSINE NADJAR
Rosine Nadjar est danseuse, chorégraphe et enseignante. Elle créée la compagnie Lo en 2005, elle en est la chorégraphe et la directrice artistique.
Ayant reçu une formation de danseuse, de pédagogue, et également une formation universitaire en histoire, Rosine inscrit la compagnie Lo dans une identité croisée entre la danse contemporaine et le patrimoine. Le travail de recherche et de création développé au sein de la compagnie Lo s’est toujours tourné vers le désir de rencontre avec l’altérité au travers de projets destinés à des publics variés (enfants, adultes, publics empêchés, novices en danse et danseurs expérimentés). Les pièces Averses, et puis…, Nuit Blanche, WALK!, La Ronde, notamment, ont permis de proposer à la fois des représentations dans différents contextes, théâtral, patrimonial, scolaire, carcéral, et également d’être dans le partage et l’échange avec les publics au travers d’ateliers, de bords plateaux, de sorties de résidences et de créations pour des groupes de danseurs amateurs. Titulaire du C.A. en danse contemporaine, Rosine intervient également en tant qu’enseignante au sein de différentes structures nantaises, en formation initiale et en formation supérieure.
ALINE BRUGEL
Diplômée en Art et Danse Contemporaine, Aline Brugel travaille en tant qu’artiste plasticienne, scénographe mais également professeure de danse et chorégraphe. Installée à Nantes, elle développe et expose des projets en France et à l’étranger dans des lieux d’exposition, ou In Situ, tel que son projet Corps In Situ in City. Son travail artistique tend à une convergence des deux Arts, invitant le public à se projeter dans un univers sensoriel en 3 dimensions. Ses créations sont transcendées par la présence du visiteur qui interagit avec elles comme pour sa dernière œuvre, Moving Land, qui invite le public à l’activer par son déplacement. Elle démontre par ce biais l’impact de nos actes physiques sur ce/ceux qui nous entourent. Par ses compétences pédagogiques, Aline Brugel dispense également des formations autour des arts plastiques. Elle enseigne la danse contemporaine dans des structures diverses. Elle propose également des ateliers pluridisciplinaires (Art-Danse) apportant un regard transversal sur la création artistique en déployant une approche sensible et physique de la matière.